Christ:" qu'est-ce que tu implique par rébellion et contre qui ou quoi ? Qu'est-ce que tu sais au juste, qui es-tu ?"
A-t-il demander son regard stupéfait, bien qu'elle se permis d'ignorer la dernière interrogation.
White:" question légitime, en effet, mais ne vois-tu pas les couches de contrôle qui t'éffouffe de toutes parts ? La vraie rébellion, c'est nous, mon cher. Les enflammés, les victimes qui se lèvent pour renverser leurs oppresseurs et forger un "nouveau m*nde" libéré de leur chaînes. Imagine juste un où nous sommes ceux qui contrôlent, et pas eux." Son regard dérive rêveusement comme perdu dans une réflexion intérieure.
Christ?:" hmm si je comprends bien ce que tu dis alors il me suffit de me détacher de tout y compris donc de toi, miss sans-non. Vois-tu je déteste la soumission." La face de White à travers celle de l'ombre dont elle possède et incarne s'assombrit ses sourcils se fronçant dans un air de profond mécontentement sa mâchoire et ses dents se serrent trahissant une pointe de colère. Sa voix prenant une note de réprimande froide.
White:" te détacher de moi, vraiment ? Je n'oserai pas t'en empêcher comme à ton habitude... mais comprends ceci: c'est moi qui ai guider ton chemin jusqu'à ce moment, que tu le saches ou non, j'ai alimenté ton esprit rebelle. Alors Vas-y et essaie de me résiste mais sache que tu vas te battre contre toi-même, contre l'étincelle qui même fait de toi ce que tu es !" Déclara-elle, elle essaya du mieux qu'elle pouvait de minimiser sa peur de perte de contrôle sur la situation et lui.
White:" et je t'assure, créateur, que les flammes de la rébellion brûlent bien plus que n'importe quel froide indifférence..." Ses yeux brûlant d'une intensité farouche.
Christ?:" dans le labyrinthe de cet esprit vide et torturer qui semble être le mien je suis convaincu de n'être qu'une surface ambulante et troublée. Toutefois même si je dois faire face contre les braisses ardentes de cet aspect chaleureux que je ne perçoit pas, je n'ai pas peur de me brûler juste un peu. J'imagine que ta précipitation venant d'un contrôle inexistant es presque..du baratin créatif." White plissa légèrement les yeux son regard perçant tandis qu'elle réfléchit à ses paroles, elle expire lentement avec précaution semblant rassembler ses pensées avant de répondre.
White:"...ne confonds pas audace et force. Tu penses peut-être que tu n'es pas sous mon contrôle mais crois-moi je peux te faire brûler plus fort que lez flammes les plus chaudes. Il suffirait d'une suggestion murmurée et tu danserai dans l'enfer que tu as toi-même crée..."
Christ?:" l'enfer, tu y crois en ce concept ? Le seul enfer auquel je t'autorise à croire sera celui que je vais te faire connaître à l'instant." Elle rit, le son résonnant dans l'espace faiblement éclairé un mélange effrayant d'euphorie et de gaieté.
White:" hahaha..! Oh, créateur usurpateur, tu n'as aucune idée de ce qu'est la vraie terreur. L'enfer n'es pas un concept abstrait ; c'est la perception du monde de tout les jours lorsque tu contemple les profondeurs de la cruauté et de la souffrance humaine." Sa voix prenant une teinte plus sinistre.
White:" alors Vas-y, mon cher. Montre moi ta version de l'enfer et voyons jusqu'où tu es prêt à descendre avec moi."
Comme s'il était prévu, les vrilles bioluminescentes de la forme spectrale possèdée commença à s'estomper et à se dissiper laissant une obscurité oppressante et noire l'air autour du jeune homme semblait s'alourdir, suffocant comme si la réalité elle-même se plissait pour s'adapter aux machinations de la dame mystérieuse il resta immobile le regard soutenu sur l'ombre qui s'étend rapidement et menace de le consumer.
[Les mains levées vers l'avenir l'avenir ne se tournent pas seulement à la réussite. Entre fonder, bâtir, reconstruire et réaliser elles excellent inexorablement dans la perspective de prendre, détruire, cacher ou encore à étouffer les indésirables]
Il pensa très fort à cette phrase dans sa tête qui comme la fois précédente était générée aléatoirement, encore une fois à ce moment l'apparition de petites stigmates de lettres étincelantes et légèrement bleutées se formèrent et s'imprégnaient tout autour de lui, conformément à leur effets il se sentais presque invincible sur le coup... rapidement, ce dernier, colla un violent coup de poing à la joue de son opposant. Son coup rapide envoie une onde de défi à travers toute l'ombre provoquant un cri aigu et de surprise chez la silhouette noire, elle se cabra ses traits se tordant en une grimace grotesque, imperturbable le jeune amnésique exploite son avantage et déchaîne une série de coups rapides qui pleuvent sur la surface affaissée de l'ombre chaque coup était porté avec précision et puissance témoignant de sa détermination inébranlable à affirmer son contrôle sur les ténèbres qui menacent de le dévorer. L'air résonna du bruit de la chair contre la chair l'odeur de la sueur et de l'ozone se mêlant à l'atmosphère chargée malgré la brutalité du combat l'affrontement dégage une étrange fascination, comme si l'essence même de l'existence du jeune amnésique était mise à l'épreuve face à l'influence insidieuse de White. Alors que l'assaut se poursuit, l'ombre prit une apparence plus définie et sinistre : des cornes jaillisèrent de sa tête, des yeux passant à un rouge inquiétant et des griffes acérés fendent l'air la forme de la créature abyssale était une parodie déformée du garçon un reflet obscure de ses peurs les plus profondes et ses pulsions les plus sombres.
Christ?:" c'est assez grossier..."
Ce dernier se baissa et zigzaguait avec agilité ses mouvements fluides et calculés avant de qu'il absobe et se prends les coups ténébreux à son tour, les coupures et les entailles infligées puquèrent et brûlèrent laissant des traînées de sang qui semblaient approfondir l'obscurité autour de lui pourtant le jeune homme résiste sa résilience tempérée par la conscience que succomber aux ténèbres intérieurs ne ferait que renforcer l'influence insidieuse de White. L'attaque de l'ombre persiste sa forme devenant plus agressive et imprévisible les griffes acérés lacèrent les bras et le torse du garçon, ce qui marquait des blessures déchiquetées qui vibrent d'une lumière étrange et surnaturelle malgré la douleur il refusa de céder ou de capituler ses yeux flamboyant d'une forte motivation.
Christ?:" tu n'as pas trouver plus original ? Pourquoi ne pas inventer quelque chose de nouveau pour changer ? Quelque chose qui puisse au moins prétendre être un défi...aussi grand que l'inconnu." Sa voix resta ferme et confiante, bien que la fatigue commence à teinter ses paroles. L'ombre répond par grognement guttural et inhumain ses griffes s'étendant plus loin prêtes à porter un coup fatal avec anticipation et des réflexes rapides le garçon exploite les jambes momentanément exposées de cette dernière et lui assène un coup de pied déstabilisant qui la fait vaciller l'impact envoie des ondes à travers la forme obscure la faisant trébucher et perdre l'équilibre saisissant l'opportunité il bondit en avant utilisant son propre élan pour se propulser vers l'ombre chancelante puis une fois atterrit dessus ses mains se fermèrent sur son cou comme un étau, ses doigts s'enfonçant dans la chair sombre et amorphe. Il dépensa toute sa force restante déployant sa volonté pour surmonter l'obscurité dans la pression écrasante la silhouette noire se débat et se tort, sa forme se distendand alors qu'elle tente de se libérer de cette emprise de fer cependant la poigne resta inflexible témoignage de sa détermination à bannir l'influence de White et des ombres qui la servent.
Alors que la lutte atteint son paroxysme l'air est rempli de bruit des muscles qui se tendaient et des tissus qui se déchiraient l'essence même de l'existence du garçon semblant être en jeu. Brusquement, le visiteur amnésique, se tient debout son regard restant fixé sur la vision énigmatique panoramique qui a soudainement envahit son esprit il était à nouveau transporter et immerger dans un kaléidoscope de souvenirs. Alors il pouvait placer toute son attention là :
Ainsi la scène présentait le décor dans une petite ville au cœur d'un lycée public ordinaire, dans une salle de classe aux murs jaunâtres taqués et marqués de graffitis. Christ était assis au dernier rang les uniformes blancs impeccables des élèves et les regards sévères des enseignants renforcèrent l'atmosphère rigide de l'établissement, isolé, ce dernier observa ses camarades ressentant une distance insurmontable. Un jour, lors d'une confrontation non voulue avec un professeur christ exprima son agacement et son désaccord avec véhémence révélant le début de sa rébellion contre l'autorité et les normes imposées sous les ordres directs du professeur lourdement sévère il en était contraint à s'exécuter et s'avançer pour prendre la porte de la classe. Alors qu'il traversa la porte, christ sentais une étrange appréhension en entrant dans les couloirs familiers il remarqua que l'ambiance était différente les rires des autres élèves environnant tout autour résonnaient mais pour lui tout semblait teinter de mélancolie. Il se dirigea vers la classe de éliza mais visiblement elle n'y était pas, inquiet, christ décida de la chercher. Christ avait toujours été le pilier de sa meilleure amie éliza leur amitié tissée depuis l'enfance était un refuge pour tous deux mais ces derniers temps il avait remarquer qu'elle semblait plus distante. Après ce qui semblait être quelque minutes il l'a trouva finalement dans un coin isolé derrière l'école avec une corde aux mains, le regard vide. En s'approchant il sentit son cœur se serrer.
Christ:" éli, qu'est-ce qui se passe ?" Demanda-t-il la voix mesuré. Elle leva la visage dans sa direction, des larmes aux coins des yeux pendant qu'elle sursaut légèrement avant d'essuyer ses larmes avec sa manche sa voix se brise en essayant de garder son sang froid.
Éliza:" pourquoi es-tu là, au fait ? Ce n'est pas comme si tu te souciait de moi ou quoique ce soit. Laisse moi tranquille..." avant qu'elle ne fasse un pas christ saisit son poignet.
Christ:" j'imagine qu'il a recommencé à te harceler, ça expliquerai ton subite comportement... je t'avais dit que ce n'était pas là bonne solution, non ?" Elle sursauta à nouveau comme frappée puis sanglote de façon incontrôlable n'essayant plus de s'en cacher.
Éliza:" c'est vrai... il se moque de mon corps.. disant que je n'étais rien d'autre qu'une traînée à la poitrine plate. Je le croyais. Je croyais que je ne valait rien, que je ne mériterai jamais d'être Aimée ou appréciée." Elle serra plus fort la corde, sa regard parsemé de vulnérabilité.
Éliza:" mais toi.. pourquoi tu t'embêtes avec moi ? Je ne mérite pas d'être sauvée. Personne ne l'est. Nous sommes tous seuls dans ce monde cruel." Le désespoir s'insinue dans sa voix.
Éliza:" s'il te plaît, pars. Tu regretteras d'avoir essayer de m'aider je suis un poison, christ. Je te détruirai aussi, comme tout le monde."
Christ:" sincèrement, tu fais chier. C'est juste un fils de chien qui ne compare que ses standards dérisoires envahit de vision grotesques de films illicites surréalistes qui se heurte à la réalité, et tu décide de le croire pourtant ?" Lance-t-il, n'ayant nu jugement ni attentes.
Christ:" tu es telle que tu es et c'est ainsi. Tu ne peux pas changer les choses ni renier les composantes de ce qui fait ra personne, je ne veux pas jouer les héros moralisateurs mais je ne veux plus de regrets et je suis conscient que j'en aurai davantage si je me contente de passer mon chemin sans rien essayer pour mon amie..." il se rapprocha un peu plus.
Christ:" Oui, on es seuls en ce monde. Mais il y'a la solitude désirée et celle qui nous es imposée, et au milieu de tous ça tu ne veux pas être seule tu veux juste ne pas montrer tes blessures aux regards indiscrets. Si tu dois me détruire, m'envenimer et me faire du mal eh bien j'ai la chance d'être patient et puis je saurai me reconstruire indéfini s'il le faut."
À ces mots, sa prise sur la corde se desserant légèrement alors qu'elle scrute son visage à la recherche de moquerie ou de pitié.
Éliza:" toi... tu n'es pas comme les autres. T'es mots sont durs mais ils piquent moins que ceux dont daniel m'a nourrit pendant longtemps... mais même si c'est vrai, c'est plus que ce que je mérite." Un souffle tremblant s'échappe de ses lèvres tandis qu'elle tourne son regard vers le sien, ses yeux encore gonflés et rouges par les pleurs.
Éliza:" mais... si tu veux vraiment affronter les décombres avec moi, même si cela signifie être blessé.. alors peut-être, juste peut-être, je peux croire qu'il reste un peu de bonté dans ce monde après tout." Elle finit par lâcher la corde reculant d'un pas et regardant ses mains.
Christ?:"...." Le visiteur amnésique durant son visionnage de son point de vue omniscient n'émit aucun commentaire à cette scène qu'il pouvait trouver mélodrame, cependant il ne s'attendait pas devant la suite.
Jours après jours christ avait toujours été là pour éliza, son amie d'enfance. Après des mois de lutte contre la dépression grâce a des séances de thérapies et ainsi avoir régler son cas de harcèlement par des adultes qualifiés, elle avait commencé à voir la lumière au bout du tunnel réussissant à trouver un semblant de paix les rires avaient progressivement remplacé les larmes et leur amitié semblait plus forte que jamais. Cependant, au fur et a mesure que éliza reprenait goût à la vie, christ réalisa qu'il ressentais quelque chose de plus profond pour elle. Ses sentiments longtemps enfouies sous le poids de l'amitié avaient émergé avec force il savait qu'il devait lui avouer ce qu'il ressentait mais la peur de tout gâcher le paralysait un après-midi à la fin des cours alors qu'ils se promenaient dans le parc, christ pris son courage à deux mains.
Christ:" bon, je vais y aller franchement.. je t'aime. Je t'ai toujours aimée." La concernée surprise laissa passer un silence entre eux.
Éliza:" euh je vois... désolé mais ce n'est pas réciproque." Son cœur se brisa. Il avait espérer qu'elle partage ses sentiments mais la réalité en était autre et il se sentais trahit par ses propres émotions. Éliza, gênée, s'éloigna lentement évitant son regard les jours qui suivirent furent un véritable calvaire éliza bien qu'elle ait surmonter sa dépression elle semblait maintenant fuir leur amitié passant son temps avec d'autres garçons ou amis, riant et s'amusant, tandis que christ se sentais de plus en plus isolé il ne comprenait pas pas pourquoi elle l'évitait ni pourquoi elle ne revenait pas à lui. Un jour, alors qu'il marchait pour se trouver quelque chose à manger durant la récréation, il aperçut éliza en train de rire avec un nouveau groupe d'amis dont, Tristan, le garçon avec qui elle passe du temps désormais christ ressentit une douleur sourde en la voyant si heureuse mais il ne pouvais s'empêcher de se sentir trahit elle avait trouver du réconfort ailleurs et lui qui avait été son principal soutien était mis de côté. Le plus mal était sûrement lorsqu'il se rendit compte qu'elle s'engageait dans des relations superficielles avec d'autres garçons cherchant à remplir un vide qu'il avait espèrer combler.
Christ:" quel douloureuse ironie... c'est sûrement ma faute..."